Dans les coulisses du Mas maten Kongo Karayib

Dans les coulisses du Mas maten Kongo Karayib

Laurence BAPTISTE-SALOMON
Dans le Mas maten du Point, les Kongo sont traditionnellement devant les musiciens et les Karayib à l'arrière. (L. B.-S.)
Dans le Mas maten du Point, les Kongo sont traditionnellement devant les musiciens et les Karayib à l'arrière. (L. B.-S.)

Le groupe à peau, le Point d'Interrogation, organise samedi matin son traditionnel Mas maten Kongo Karayib. Le déboulé populaire rassemblera plusieurs milliers de personnes. Sa préparation a commencé il y a quatre mois.

Une nouvelle réunion a eu lieu hier soir (jeudi) mais mardi dans la courette à l'arrière du local du Point d'interrogation situé à Chauvel aux Abymes, il y a une certaine effervescence. Il est aux alentours de 20 heures. On entend au loin le président du mouvement culturel faire le point avec les membres sur le déroulement du Mas Maten Kongo Karayib, marque déposée l'an dernier.
Autour de la table, le président de la commission d'organisation du déboulé dirige la discussion. L'inquiétude du Max Eugène : la question de l'eau. « Qu'à trois jours de la manifestation, ce point ne soit pas tout à fait réglé, m'inquiète » , avoue Max Eugène, vice-président du groupe. Demain, quelque 4 000 personnes devraient prendre part au déboulé. C'est tout autant de bouteilles d'eau de 50 cl qu'il faut. Le lendemain, il faudra donc relancer les sociétés et s'il le faut, prévoir d'acheter de l'eau.
DÉPART AU STADE DES ABYMES
Aussi prévu : recontacter les polices municipales, appeler Routes de Guadeloupe ou encore régler la question du transport puisque des bus ramèneront les carnavaliers de la plage de Bas-du-fort, au point de départ. C'est la nouveauté de cette année,...

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